Sans elle[en construction]

Les murs de pierre, de cet enorme château, ne protgeaient personne du froid. A l'extérieur la neige tourbillionait, falsait. Le blizzard, la tempête. Bref! Une nuit a passé autour du foyer, avec sa famille.

Seulement, c'était un peu different pour Alan.

25 décembre, soir de noel. Alan Miller fixe avec horreur ce qui avait fait sa fierté. Sa maison.

Depuis tout petit, il avait les poches pleines, de beaux habits, pas d'amis. Il vivait comme un roi, ce qu'il detestait surtout c'était qu'on le tutoit. Il dominait le monde, la presse le posait a chaque seconde, il dominait le monde par l'entremise des ondes. Les pauvres l'emmerdait, il les traitait comme des déchets et il adorait les prendre pour des objets. Sa residence vallait plus qu'une tour au centre ville, il ne connaissait pas les autobus. Tous ce qu'il voulait c'était qu'on le laisse tranquille!
Alan avait sa fortune, pleins de projets, mais ses ascociés disaient qu'il buvait trop. Seulement il s'en fichait! Ils allaient le voir creuvé, avant qu'il donne des sous, au misérables qui trainaient un peu partout!

Toute la ville le connaissait du haut de sa tour, il resonnait en ses interets. Il tuait et franchement sa payait. Jamais le même complet, aux filles il plaisait, son porte-feuille bien plein. Il repetait le même couplet, jour apres jours. Il compilait les faux billets, tour a tours. Il contrôlait le juge et le reste de la cour, son avocat ferait tout pour qu'il le paix. Mais Alan emmerdait tous les hommes de paix!

Chez lui, c'était le buiness : des centaines de "chiens" sans lesse, le laisse, à a ses obligations, faire sa propre messe. Ses promesse s'envolent, comme sa motifation a l'école. Et dire que ses actions, vont comme les annés folles! La bourse est son seul ami la reine est dans ses poches (dans le sens de l'argent lol). Il multipliait les pots de viens, et empochait.Il avait renié la religon, oublier que l'éternité c'est long... On voyait toujours son visage a la télévision. Il collectionait les profits, comme un nimphomane compte les filles dans son lit. Il trafiquait plus de passport, il avait plus de " candy". C'était un bandit. Mallete et vestons près de son ordi. Mafioso, du nouveau millénaire c'est ce qu'on dit...

Il avait les poches pleines, ca vous le saviez. L'argent, vous le lui deviez, sinon il devenait, il buvait du champagne pas du vin! Si vous alliez près de son château, il lachait les chiens.